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Les contextes du projet

En France, jusqu’en 1985, les vidanges décennales des barrages ont pour objectif d’assurer la sécurité de l’ouvrage par visite des parties immergées.

En 1985, en Bretagne, lors du dernier assec du lac de Guerlédan, Jean Luc Chevé avait déjà réalisé un film de 26 min en 16 mm, Chim et Chinao vagabonds. C’était une fiction aux allures de documentaire.

Après ces travaux, au regard des évolutions techniques, il n’y a plus eu d’assec jusqu’en… 2015. Les vérifications étant réalisées à l’aide d’un sous-marin robotisé. Jean Luc Chevé ne pensait plus avoir l’opportunité de revoir un tel paysage, ni de continuer ses recherches et de filmer à nouveau.

Au début de l’année 2014, la presse annonce qu’il y aurait en 2015 une nouvelle mise en assec de ce barrage vieux de 85 ans. Jean Luc Chevé a tout de suite écrit une trame sur ce dont pouvait encore révéler cette riche vallée de Guerlédan. Ce ne pouvait être qu’un double projet : le 1er « Les gueules bleues de Guerlédan » traite de la vie des ardoisiers qui travaillaient dans la vallée. Le second, « Sous les eaux claires de Guerlédan » est un projet encore plus important, Il traite des multiples valeurs de l’eau contenue dans un barrage hydroélectrique tel que celui de Guerlédan.